Les exercices sont en général conseillés mais là encore, tout dépend de la personnalité du scripteur.
Par exemple, certains enfants font un blocage à l'écrit (en particulier les enfants précoces) et les exercices passent systématiquement à la trappe. D'autres sont fatigables et les entraînements scripturaux quotidiens leur demandent trop d'énergie après les devoirs à la maison en plus d’une longue journée à l’école. D'autres encore pratiquent de nombreuses activités extrascolaires et ont un réel besoin de se défouler, de jouer. Des "devoirs" supplémentaires les rebutent
Dans ces trois cas, le travail fourni en rééducation est primordial.
D'autres enfin demandent à faire des petits exercices tous les jours pour se rassurer et s'entraîner. C'est au graphothérapeute de sentir ce qu'il est possible de proposer en dehors des séances.